Réponse : Homo Sapiens, ainsi que tout ce qui « existe » matériellement dans l’Univers, des Atomes… aux Galaxies.
Certes, les champs de consciences varient entre un électron et un Être humain.
Pour nous, il est possible d’élargir relativement vite notre champ de conscience (si nous le voulons vraiment, bien entendu !)
Réponse : Remarquez qu’il n’est pas question d’être sans opinion, mais simplement de ne pas la (ou les) chérir.
CHÉRIR une opinion, c’est réduire mon champ de conscience à cette opinion (ou à cette croyance).
C’est rajouter encore une identification de plus à mon esprit, un mur protecteur qui m’isole dans le donjon de mes opinions.
Je déconsidère, je dévalue ceux qui n’ont pas la même opinion que moi. Il y a « moi » et les « autres ».
Dans certains cas, nous nous regroupons dans des camps d’opinions, avec des leaders d’opinions…
…et les gens qui chérissent des opinions différentes des miennes deviennent des ennemis.
Ne pas chérir d’opinion, c’est avoir des opinions tout en restant tranquille, paisible !…
…et ouvert à d’autres points de vue, même diamétralement opposés !
Je ne cherche plus à avoir raison quand l’autre a tord. Je l’accueille en mon cœur… et si ça fait mal, je laisse cette douleur (due au refus) faire son travail et élargir ma conscience.
C’est un travail conscient d’ouverture du cœur et donc de la conscience… qui au passage, se grave dans mon néocortex.
Réponse : « NOUS SOMMES DES ÊTRES SPIRITUELS FAISANT UNE EXPÉRIENCE HUMAINE,
et non pas des êtres humains faisant une expérience spirituelle » (Pierre Teilhard de Chardin).
MAIS MAIS MAIS…